Déjà 20 ans que Dalibo, spécialiste de PostgreSQL®, porte haut et fort les valeurs de son double ADN, celles du logiciel libre combinées à celles des Scop !
Fin 2024, Dalibo réaffirmait ses valeurs dans sa raison d’être, désormais inscrite dans les statuts de l’entreprise : le partage, la transparence, l’expertise, et le respect. L’expertise PostgreSQL et la coopération sont ainsi les vecteurs d’adhésion au logiciel libre en entreprise.
Et chez Dalibo, c’est du concret qui se traduit dans son fonctionnement, ses pratiques, mais aussi ses comportements au quotidien. Par exemple, la Scop met à disposition ses supports de formation en libre accès, ou bien encore fait le choix de fournisseurs éthiques et responsables, a mis en place une politique de transport éco-responsable, et se dote progressivement de matériel informatique durable. Autant de choix qui viennent abonder une politique engagée en termes de QVT, dans laquelle l’équilibre vie pro/perso et l’attention portée à l’innovation et à l’évolution sont essentiels.
2005 : quatre libristes passionnés d’Open Source fondent Dalibo
Petit retour en arrière : en 2005, quatre libristes passionnés d’Open Source fondent Dalibo. C’est en 2011 que ses fondateurs, sensibles aux enjeux du travail et du télétravail en particulier, décident de proposer au collectif d’alors de transformer l’entreprise en Scop, un tournant dans l’histoire de Dalibo :
« Il y a plein de raisons très différentes qui nous ont poussés à passer en Scop… Parmi elles, il y avait le fait qu’on était en train de grandir rapidement, et l’expérience du travail à distance pendant les cinq premières années montrait qu’on avait besoin de se faire confiance.
Pour que les salariés soient vraiment autonomes et investis, il fallait qu’ils aient confiance en nous. C’était une question fondamentale, directement liée à la structure de la société. Pendant un an, on a fait le tour des statuts juridiques possibles.
Le choix de la Scop s’est imposé assez naturellement, car il donnait un cadre clair de transparence et de participation qui venait justement combler (en partie) les “trous” laissés par le travail à distance, c’est à dire l’individualisation des tâches, le manque de communication, le peu de “temps communs”, etc. »
se remémore Damien Clochard, l’un des quatre fondateurs.

45 salarié·es aux quatre coins de la France
Au fur et à mesure de son développement, la Scop a ensuite élargi sa palette de métiers. Aujourd’hui, elle compte 45 salarié·es, réparti·es aux quatre coins de la France mais réuni·es par l'aspiration à un autre rapport au travail.
« Toutes ces années de coopération ont demandé énormément de travail et de patience, au-delà de nos fiches de postes, et nous avons donné naissance à une organisation efficace et humaine qui continue d'évoluer. Accompagnée par notre URSCOP régionale et entourée par le mouvement coopératif en général, notre entreprise est équipée pour relever les défis à venir, et c'est cela qui est finalement stimulant tout en donnant confiance ! » conclut Laura Ricci, en charge de la communication.

